Nouvelle organisation des départements

Service de la protection de l'adulte et de la jeunesse intégré au sein du futur Département de l'éducation et de la famille

12.07.2013

Dans le cadre de la mise en place de la nouvelle organisation et dénomination des départements, le Conseil d'Etat confirme que le Service de la protection de l'adulte et de la jeunesse (SPAJ) sera transféré dans son entier du futur Département de la justice, de la sécurité et de la culture (DJSC) au sein du futur Département de l'éducation et de la famille (DEF) dès le 1er août 2013. Les appellations des nouveaux départements seront en effet effectives dès cette date dès lors que la modification de la Loi sur l'organisation du Conseil d'Etat et de l'administration cantonale, ratifiée par le Grand Conseil en juin dernier, était soumise au référendum facultatif.

Pour rappel, le 11 juin dernier, le Conseil d'Etat confirmait que les activités liées à l’accueil de l’enfance seraient transférées à terme au sein du futur Département de l'éducation et de la famille (DEF), mais qu'elles restaient dans l'intervalle rattachées au Service de la protection de l'adulte et de la jeunesse (SPAJ) au sein du futur Département de la justice, de la sécurité et de la culture (DJSC). Les chefs des deux départements avaient en effet été chargés d'examiner l'opportunité de transférer l'entier du SPAJ au sein du DEF ou uniquement les activités de son Office de l'accueil extra-familial (OAEF).

Après analyse, le Conseil d’Etat a jugé plus efficient et plus cohérent en termes de synergies de rattacher l’ensemble du SPAJ au DEF. Dirigé par M. Christian Fellrath, le SPAJ regroupe l'OAEF, deux offices de protection de l'enfant respectivement de Neuchâtel et de La Chaux-de-Fonds et l'Office de protection de l'adulte basé également à Neuchâtel et à La Chaux-de-Fonds. Il compte au total 86 collaboratrices et collaborateurs.

L'entier du SPAJ rejoindra donc dès le 1er août 2013 le futur DEF. Les appellations des nouveaux départements seront effectives dès cette date dès lors que la modification de la Loi sur l'organisation du Conseil d'Etat et de l'administration cantonale, ratifiée par le Grand Conseil en juin dernier, était soumise au référendum facultatif.